Cette question va nécessairement se poser. Chaque visiteur, chaque lecteur ou chaque curieux va se demander, mais qui se cache derrière ce blog ?
Ceux qui me connaissent n’en sauront pas davantage, et découvriront sans doute une facette différente de mon caractère. Ceux qui ne me connaissent pas se concentreront sur les chroniques d’un lecteur lambda et sur ce qu’elles dégagent, humblement. Tout détail supplémentaire est inutile.
Dans un monde où tout se personnifie, où seul le trouble est visible, où l’opulence arrogante a pris le pouvoir, où la vie, humaine, animale, végétale se liquéfie, j’ai eu envie de créer un ilot de silence, de repos, de réflexion.
J’ai choisi pour symbole le Merle Moqueur.
D’abord, parce que j’aime le chant mélodieux, ironique et joyeux qu’il dégage. Ensuite parce qu’il personnifie pour moi la Commune de Paris, et sa chanson éponyme « le temps des cerises ».

Enfin, parce qu’il est à sa façon le symbole de la révolution, en toutes choses, de la légèreté, de la résistance comme de la transformation, de l’espérance.
N’est ce pas suffisant?
Je ne suis bien sûr pas propriétaire de ce vocable, maintes fois usité. Je me l’approprie ici, comme tant d’autres ailleurs. Répandons en le symbolisme et la philosophie.
Lisez avec moi. Partagez. Commentez. Proposez. Faisons ensemble, un petit bout de chemin. En attendant mieux.
Amitiés.
Le Merle Moqueur.
Pour tout contact, écrire à contact@lignesdefuite.blog.